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Maria et Frank MARTIN, 1945, Cliquer sur la photo pour une vue agrandie et les références
Ernest ANSERMET à Paris en avril 1958, ParisEnImages / RogerViolet, Boris Lipnitzki - Cliquer sur la photo pour l'original et ses références
Hansheinz SCHNEEBERGER
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Frank MARTIN
Concerto pour violon et orchestre
Hansheinz SCHNEEBERGER
Orchestre de la Suisse Romande
Ernest ANSERMET
11 juin 1952
Grande salle du Palais des Nations, Genève
Frank MARTIN composa son concerto pour violon entre mars 1950 et mai 1951, sur une commande de Paul SACHER pour le 25e anniversaire de son orchestre de chambre de Bâle. L'oeuvre fut donnée en première audition le 25 janvier 1952 par le commanditaire et son orchestre, avec Hansheinz SCHNEEBERGER au violon.


Hansheinz SCHNEEBERGER, date ??, photographe ?? si une personne visitant cette page devait en savoir plus, toutes informations m'intéressent -> Couriel!

"[...] Lorsque j'en ai commencé la composition, je venais de terminer Cinq Chants d'Ariel pour choeur a cappella et j'étais encore tout imprégné de l'atmosphère féerique de cet être immatériel créé par la fantaisie de Shakespeare. C'est ce qui explique le caractère mystérieux de son début. Par la suite, je me suis attaché à donner au violon son véritable rôle de soliste, qui consiste à être un individu qui, soit par l'expression de son chant, soit par la brillance de sa technique, s'oppose à la pluralité de l'orchestre ou s'y joint en le dominant. Mais mon principal souci, tout au long de ce concerto, a été de chercher à établir une construction musicale, une grande forme, qui puisse donner à l'auditeur, à travers des épisodes de caractère varié, le sentiment d'une pensée continue, d'un tout cohérent [...]" Frank MARTIN.

La première à Bâle fut - entre autres - commentée par Jean-Pierre ROBERT dans la Gazette de Lausanne du 4 février 1952, en page 2:

"[...] Célébrant son XXVme anniversaire, l'Orchestre de chambre de Bâle crée des oeuvres de Martin, Hindemith et Petrassi, par Jean-Pierre Robert.

Alors que montaient vers lui les acclamations du public reconnaissant qui, vendredi dernier, remplissait jusque dans ses moindres recoins la vaste nef de la Musiksaal de Bâle, M. Paul Sacher pouvait non sans fierté mesurer le chemin parcouru depuis ce 21 janvier 1927 où, pour la première fois, se faisait entendre l'Orchestre de chambre dont il est le fondateur et le directeur.

Depuis ce jour, vingt-cinq ans se sont écoulés. Vingt-cinq ans d'efforts patients au service de la musique et plus particulièrement de l'art contemporain. Car, si aujourd'hui Bâle est considéré comme l'un des foyers les plus agissant de la musique moderne, c'est incontestablement à Paul Sacher qu'elle le doit.

[...] En vérité, hormis l'O.S.R. qui, sous l'impulsion d'Ernest Ansermet poursuit depuis trente ans chez nous semblable mission, il y a peu d'ensembles dans notre pays — et bien peu sans doute à l'étranger — qui puisse s'enorgueillir d'aussi active contribution en faveur de l'art d'aujourd'hui! On comprend dès lors que de nombreux musiciens de tous pays aient tenu à encourager Paul Sacher au soir de ce XXVme anniversaire. Et si Hindemith, Frank Martin et Petrassi trouvaient dans la première audition d'un ouvrage qui leur avait été demandé pour la circonstance raison supplémentaire à leur présence, celle d'Arthur Honegger peut s'interpréter comme hommage de la musique contemporaine, par la personne de l'un de ses plus éminents représentants, à quelques-uns de ses plus actifs serviteurs.

Des trois ouvrages présentés, un surtout se doit de retenir l'attention. Et le plaisir est d'autant plus vif à le proclamer qu'un de nos compatriotes en est l'auteur puisqu'il s'agit du Concerto pour violon de Frank Martin, oeuvre commandée par la Fondation «Pro Helvetia» et dédiée à Paul Sacher.

Jamais encore, sinon peut-être avec la Petite Symphonie concertante, le compositeur genevois ne nous avait donné ouvrage aussi significatif et accompli quant au fond et à la forme. Il nous faudra revenir plus en détail sur ce Concerto, qui mérite à lui seul d'abondants commentaires, et dont on veut espérer que l'O.S.R. — qui le doit présenter ce printemps à Paris — nous le révélera la saison prochaine au concert d'abonnement.

Car il s'agit incontestablement d'une réussite. Une réussite qui tient tout à la fois à la richesse et à la force de sa substance, à l'art avec lequel celle-ci se trouve traitée, à l'authenticité et à la spontanéité d'une musique dont le ton, dénué d'apprêt, revêt un caractère extrêmement personnel, à la finesse enfin d'une écriture qui ne vise à rien d'autre qu'à exploiter au mieux de ses possibilités le matériel sonore auquel le compositeur a fait appel. C'est, si je ne m'abuse, la première fois que Frank Martin écrivait pour le violon concertant. Aussi mon admiration se trouve encore grandie devant l'habileté avec laquelle il a su traiter cet instrument et lui restituer le caractère chantant et expressif qui lui est propre. Car bâti sur des thèmes largement dessinés et d'une inspiration essentiellement lyrique, ce Concerto chante d'un bout à l'autre. Et ce n'est pas l'un des moindres mérites de son auteur que d'avoir su constamment adapter les exigenes de sa pensée aux possibilités de l'instrument soliste — dont la partie, soutenue par un orchestre fluide et transparent, demeure en tous instants d'une clarté remarquable — et d'avoir fait fi de ces recherches scabreuses, tant mélodiques que rythmiques, dont la réalisation sonore ne va pas sans mettre généralement, à rude épreuve l'oreille de l'auditeur.

Mais ce n'est pas par ce côté seulement que le Concerto de violon de Frank Martin a droit à notre admiration. C'est aussi — et davantage encore peut-être — par la richesse de sa substance déjà relevée et surtout par la maîtrise avec laqulle le compositeur est parvenu à s'extérioriser et à créer le climat affectif propre à traduire sa pensée et les sentiments qui la nourrissent. Que ce soit dans l'Allégro du début, baignant dans une atmosphère de féerie mystérieuse; dans l'Andante médian qui prend l'aspect d'une méditation sereine et pathétique ou dans le Presto final secoué d'un élan rythmique à l'allure capricieuse, partout se retrouvent à un degré rare les préoccupations d'un musicien sensible qui, concentrant dans son art le meilleur de lui-même, est parvenu à s'exprimer avec une rare intensité expressive.
[...]

M. Paul Sacher défendit avec son intelligence coutumière chacune de ces trois partitions, dont la réalisation était loin d'être simple, et à la traduction desquelles l'Orchestre de chambre de Bâle fit preuve d'évidentes qualités. Quant au jeune violoniste bâlois, M. Hansheinz Schneeberger, il affirma tout au long du Concerto de Frank Martin une maîtrise proprement remarquable et un sens musical parfait, effaçant heureusement dans notre mémoire la déception qu'il nous avait occasionnée l'an dernier lors de son apparition au concert d'abonnement. J.-P. R." cité de la Gazette de Lausanne du 4 février 1952, en page 2.

L'oeuvre fut ensuite présentée à Paris dans le cadre des concerts donnés sous l'égide de «L'Œuvre du XXe Siècle», Ernest ANSERMET dirigeant "son" Orchestre de la Suisse Romande dans les concerts du vendredi 16 et du samedi 17 mai 1952: le 16 avec la Symphonie No 5 d'Honegger, «Nobilissima Visione» d'Hindemith, «Sonata di camera» pour violoncelle et orchestre de Bohuslav Martinu (soliste: Henri Honegger) et la «Rapsodie espagnole» de Ravel, puis le lendemain la «Suite en fa» de Roussel, le Concerto pour violon et orchestre de Frank Martin, première audition à Paris, avec Joseph SZIGETI et pour terminer «Trois images» de Claude Debussy.

Pourquoi Joseph SZIGETI en soliste, et non Hansheinz SCHNEEBERGER? Dans ses «Souvenirs de ma vie avec Frank Martin», Maria MARTIN en donne la raison:

"[...] Quand Joseph Szigeti avait appris que Frank Martin écrivait un concerto pour violon, il vint nous voir à Amsterdam pour prendre connaissance de la partition.
Frank et lui se connaissaient bien depuis l’époque où Szigeti était professeur de violon au Conservatoire de Genève. Szigeti fut enthousiasmé par le Concerto et demanda à Frank l’exclusivité absolue de cette oeuvre. Frank lui répondit qu'il ne lui était pas possible de lui accorder cela, tout au plus l'exclusivité pour les pays anglo-saxons, si l’éditeur était d'accord - Szigeti accepta.
Il joua le Concerto à plusieurs reprises, surtout dans les pays anglo-saxons, mais aussi dans diverses villes d’Europe, dont Paris, le 16 mai 1952, dans le cadre du mémorable Festival «L’Œuvre du XXe siècle» organisé par Nabokov, et La Haye, seule exécution à laquelle nous eûmes la possibilité d'assister.
[...]"
cité de l'ouvrage de Maria Martin, «Souvenirs de ma vie avec Frank Martin», page 142

Franz WALTER assistait à ces concerts de l'OSR, et les commenta dans le Journal de Genève du 23 mai suivant, en page 8:

"[...] C'est ainsi que vendredi soir Ernest Ansermet avait semblé mettre tout son soin — et ceci avec une particulière lucidité — à modeler son orchestre d'une main délicate, à assurer des enchaînements souples ou à maintenir sans contrainte la fermeté de ses tempi, à fondre et équilibrer ses sonorités par un geste discrètement suggestif. Et ici il faut signaler l'aisance et la spontanéité avec lesquelles ses musiciens répondirent à sa suggestion comme à sa volonté, créant notamment un coloris orchestral d'une rare séduction. Si, peut-être, les interprétations en étaient appauvries d'un certain lyrisme, auquel en quelques occasions on pouvait aspirer — mais ce lyrisme devient, chez Ansermet, assez facilement de la fébrilité — il était difficile de ne point être conquis par la poésie si subtilement évocatrice dont le chef de l'O. R. para, une fois de plus, les pages de Debussy qui lui valurent son premier triomphe.

Face à cette attitude objective du chef, celle, nettement suggestive, du soliste n'avait pas été sans créer quelque désaccord au cours du «concerto de violon» de Frank Martin, ceci en dépit de la soigneuse préparation dont l'oeuvre avait bénéficié. C'est peut-être la raison pour laquelle ce «concerto» m'a paru avoir quelque peu désorienté le public, qui n'en salua pas moins chaleureusement la présence du compositeur.

[...]

Quant à Ernest Ansermet, il s'affirma samedi soir d'emblée plus volontaire, plus ardent aussi que la veille — ce que d'ailleurs les oeuvres au programme sollicitaient davantage — et la «5me symphonie» d'Arthur Honegger, qui ouvrait le concert, s'imposa déjà par son souffle vigoureux et ses accents saisissants. Il en fut de même de «Nobilissima visione» de Hindemith qui fut rendue avec toute la sobre grandeur, mais aussi l'expression pénétrante qu'exigé cette suite.

D'une manière générale l'atmosphère fut plus chaleureuse ce soir-là que la veille, autant de la part du public que de celle de nos musiciens. Ceux-ci, on le sentait, avaient pris pleinement possession de cette salle, nouvelle pour eux, et l'on peut affirmer que dans la «Rhapsodie espagnole» de Ravel ils se surpassèrent littéralement. En dépit de quelques minimes défaillances individuelles, ce fut certainement l'une des plus brillantes exécutions de cette oeuvre dont j'aie le souvenir. Le public, d'ailleurs, ne s'y trompa pas qui par ses acclamations prolongées obligea, comme la veille, Ansermet à bisser son dernier mouvement.

Ajoutons qu'aux côtés de Frank Martin on reconnaissait dans la salle Arthur Honegger et Boruslav Martinù, qui eurent leur part d'ovations.

En conclusion il n'est point exagéré de considérer la venue à Paris de notre Orchestre comme un événement d'une grande portée pour le prestige artistique de notre pays, prestige qui n'est pas toujours défendu de manière aussi heureuse. Au cours de ces deux concerts donnés sous l'égide de l'Œuvre du XXe siècle, il n'a pas été seulement possible de mettre au programme des oeuvres de compositeurs suisses, qui sont en même temps classés parmi les plus éminents de notre époque, mais notre Orchestre et son chef ont apporté également à Paris — qui reste notre capitale spirituelle et intellectuelle — le témoignage le plus éloquent et le plus éclatant de notre contribution à une culture commune. On peut voir là l'aboutissement des efforts patients de tous ceux qui ont aidé, non seulement aux progrès constants de notre orchestre, mais aussi à sa stabilité et à ses possibilités de rayonnement. Et l'on voudrait maintenant qu'avec cet exemple sous les yeux, on put se décider chez nous à amorcer un effort semblable dans d'autres domaines artistioues qui le mériteraient également.
Franz Walter"
cité du Journal de Genève du 23 mai 1952, en page 8.



Dans cet enregistrement avec l'Orchestre de la Suisse Romande sous la direction d'Ernest ANSERMET, nous retrouvons Hansheinz SCHNEEBERGER, qui - après la première audition suisse à Bâle du 25 janvier 1952 - en donna la première audition en Suisse Romande à Genève le 11 juin suivant, une prise de son de Radio-Genève heureusement conservée dans les fabuleuses archives de la Radio Suisse Romande.

Le concert dont provient cet enregistrement fut donné à l'occasion de la 35e session de la Conférence Internationale du Travail, organisé par la Ville de Genève et Radio-Genève dans la grande salle du Palais des Nations. Le lendemain, Franz WALTER écrivait dans le Journal de Genève en page 9:

"[...] UN CONCERT SYMPHONIQUE AU PALAIS DE NATIONS - L'O.R. joue le «Concerto» de F. Martin [...] À côté de quelques oeuvres connues, le programme comprenait, en première audition publique pour Genève, le «Concerto» de violon de Frank Martin. J'ai parlé déjà de cette oeuvre, à l'occasion de sa récente présentation à Paris, dans le cadre de «L'Œuvre du XXe Siècle». Je n'y reviendrai donc que brièvement pour relever que cette nouvelle audition a confirmé la plupart de mes premières impressions; à savoir que ce concerto est d'une inspiration noble et profonde, d'une expression intense mais d'une réalisation inégale. On n'y retrouve en effet pas d'une manière aussi constante cette fluidité d'écriture et d'expression qui caractérise ses meilleures oeuvres et on pourrait lui reprocher de ne point établir ici un équilibre suffisant entre les périodes de tension et de détente, les premières s'affirmant par trop au détriment des secondes.

Il s'agit donc en quelque sorte d'un défaut d'aération — si l'on ose s'exprimer ainsi. Il est vrai que l'acoustique assez particulière du Palais des Nations ne permet qu'imparfaitement cette sorte d'intimité auditive avec la musique qui me paraît indispensable pour ressentir à sa juste valeur une oeuvre d'une expression intérieure aussi tourmentée.

Mais ce qu'il convient de relever hautement, c'est la tout à fait remarquable interprétation de Hansheinz Schneeberger, et l'on en soulignera la particulière pureté. Pureté d'intonation jusque dans les traits les plus scabreux; pureté de sonorité; pureté de style. En vérité cette interprétation, par sa clarté et sa dignité, m'est apparue infiniment plus convaincante que celle de Joseph Szigeti, et l'on ne peut que regretter que l'occasion n'ait pas été saisie de faire présenter à Paris ce concerto par notre jeune compatriote, qui en était fort digne et qui en fut d'ailleurs le créateur.

Après avoir débuté par l'Ouverture d'«Euryanthe» de Weber et s'être poursuivi par «Pacific 231» d'Honegger et «Printemps» de Debussy, le concert s'acheva sur le brillant «Cappriccio espagnol» de Rimsky-Korsakoff, qui parut être le morceau le mieux apprécié du public et qui permit d'admirer sans réserve quelques-uns des meilleurs solistes de l'orchestre.
F. W. [...]" cité du Journal de Genève du 12 juin 1952, en page 9.

Pour terminer cette présentation, une très courte caractérisation des trois mouvements, dont le premier - Allegro tranquillo - "[...] est le plus vaste, – empreint de grâce, de poésie «féerique» (tonalité principale de mi mineur) ; il ménage une belle cadence solistique avant la lente conclusion phrasée pianissimo par les cordes.
L'Andante qui suit présente un thème sombre des bois, amplifié et sublimé en une puissante gradation dans laquelle le violon s'insère avec pathétisme; un sommet d'intensité semble atteint, lorsque tout reflue à nouveau dans le pianissimo.
Contraste absolu avec le finale, – qui s'envole en quartes ascendantes et donne libre cours au rythme précipité d'une tarentelle propice aux ébats virtuoses du soliste. Lyrisme, passion et fantaisie s'allient remarquablement dans cette partition essentiellement mélodique (beauté intrinsèque de ses thèmes), – dans laquelle le violon connaît plusieurs instants de pur bonheur.
[...]" cité du Guide de la musique symphonique de François-René Tranchefort.

De l'épisode «1952» de la série «Les annales radiophoniques de l'OSR» de Jean-Pierre AMANN:

Frank Martin, Concerto pour violon et orchestre, Hansheinz Schneeberger, Orchestre de la Suisse Romande, Ernest Ansermet, 11 juin 1952, Grande salle du Palais des Nations, Genève

(09:30) 1. Allegro tranquillo
(23:39) 2. Andante molto moderato
(33:17) 3. Presto


Cliquer sur la flèche - resp. le pictogramme pause - à gauche pour démarrer - resp. arrêter - l'écoute, saisir le curseur avec la souris et le positionner au minutage désiré pour écouter / réécouter le document à partir d'un endroit donné.
(Il s'agit d'un mp3 128kb, comme d'habitude dans les archives proposées à l'écoute en ligne par la Radio Télévision Suisse)

Pour le Concerto de Frank Martin, le minutage sur le début de la présentation de Jean-Pierre AMANN est 08 minutes 48 secondes (les minutages du début de chaque mouvement sont donnés un peu plus haut).


Je ne peux pas encore vous proposer cet enregistrement en téléchargement - et en meilleure résolution audio... - le droit d'auteur de Frank MARTIN s'étendant jusqu'à fin 2044... Donc rendez-vous en 2045, en espérant d'être encore de ce monde - je touche du bois...

                                                            **********

Ce volet «1952» de la série «Les annales radiophoniques de l'OSR» proposait les enregistrements suivants:

(01:06) Camille SAINT-SAËNS, Danse macabre, poème symphonique pour orchestre, Orchestre de la Suisse Romande, Ernest ANSERMET, enregistrement paru chez Testament

Aller sur cette page du site notrehistoire.ch pour écouter ma restauration de l'enregistrement (mp3 320kbps), resp. sur cette page de mon site pour le télécharger au format FLAC.

(08:48) Frank MARTIN, Concerto pour violon et orchestre, Hansheinz SCHNEEBERGER, Orchestre de la Suisse Romande, Ernest ANSERMET, 11 juin 1952

Présenté sur cette page du site notrehistoire.ch resp. sur cette page de mon site.

(40:17) Paul PARAY, Sanctus - Benedictus et Agnus Dei de la Messe pour le 500 ème anniversaire de la mort de Jeanne d'Arc, pour soli, choeur et orchestre, Suzanne DANCO, Lise de MONTMOLLIN, Frank MERTENS, Paul SANDOZ, Samuel DUCOMMUN, Orphéon, Société Chorale, Neuchâtel, Orchestre de la Suisse Romande, Paul PARAY, 26 avril 1952

Présenté sur cette page du site notrehistoire.ch, resp cette page de mon site.

(56:10) Robert SCHUMANN, Fantaisie pour violon et orchestre en ut majeur, op. 131, Georges TESSIER, Orchestre de la Suisse Romande, Edmond APPIA, 26 septembre 1952

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(1:11:57) Wolfgang Amadeus MOZART, extrait de la Sérénade pour 13 instruments à vents no 10 en si bémol majeur, Gran Partita, Orchestre de la Suisse Romande, Peter MAAG